La Cour de cassation a confirmé, en décembre, un arrêt de la cour d’appel de Douai (59) interdisant à une multifranchisée Dépil Tech et à une esthéticienne indépendante la pratique de l’épilation à la lumière pulsée, rappelant l’arrêté ministériel de 1962 qui précise que « les épilations à la pince et à la cire sont les seuls modes d’épilation qui peuvent être pratiqués par d’autres professionnels que les médecins ». Un rapport de l’ANSES, qui pourrait conduire à une éventuelle évolution de la réglementation, et initialement prévu pour fin 2016, est attendu.