Le cabinet d’étude Percepta a réalisé une étude traitant des thématiques de la santé connectée et de l’Open Data, intitulée « Santé connectée et valorisation des nouvelles data – Opportunités et stratégies d’alliance des opérateurs ». Selon les expert du cabinet, les données libre d’accès vont imposer une nouvelle ère, où les acteurs de la santé devront évoluer en prenant en considération les effets positifs comme les menaces. Les objets connectés donneraient lieu à une médecine personnalisée, à la fois préventive et individualisée. La santé connectée se matérialisé à la fois par les usages d’applications de mesures, plus axées sur le bien-être et le sport, mais également par celles dites « médicalisées » qui permettent le contrôle des maladies chroniques comme le diabète ou l’hypertension. Le cabinet précise que les industriels du médicament travaillent à la mise au point d’objets connectés permettant aux patients d’avoir un diagnostic sans se rendre dans les structures de soins.
Le libre accès aux bases de données publiques peuvent conduire à de nouvelles solutions innovantes dans le domaine de la santé en particulier en matière d’épidémiologie, de pratiques médicales et de fonctionnement de centres de santé. L’étude insiste sur le fait que les règles d’accès et de partage des données seront définies par l’État et la CNIL2. Selon Percepta, quatre notions clés sont liées à l’utilisation des données :
- le coaching : guider les utilisateurs dans les usages ;
- la coordination : le fait que les praticiens de santé interagissent ;
- la certification : symbole de la confiance pouvant être accordée aux données ;
- le diagnostic : l’étape nécessaire à tout protocole de soins.
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