Pierre-Yves Lastic, responsable de la protection de la vie privée chez Sanofi, demande une clarification des différences entre les données de santé et les données de bien-être collectées par les objets connectés. En effet, il est interdit d’utiliser les informations concernant la santé (tension, poids, …) pour autre chose que le soin. En revanche, dans le cas d’une balance ou d’un capteur de pression sanguine connecté il n’y a aucune limitation quant aux usages de ces renseignements car celles-ci sont considérées comme relevant du bien-être. Selon le groupe pharmaceutique, il est indispensable d’éviter qu’il y ait « deux poids deux mesures ». Pour cela, il propose un compromis entre anonymisation et diffusion intempestive de ces données.