Le Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health aux États-Unis a mené une étude, auprès de 246 personnes, portant sur l’impact sur la nutrition des individus que pour- raient avoir des SMS hebdomadaires indiquant les bons comportements alimentaires à adopter. Le constat de départ était une méconnaissance des consommateurs sur leurs réels besoins alimentaires et donc une incompréhension des étiquettes affichées sur les produits. Il est apparu que le groupe de personnes recevant un SMS chaque lundi pour indiquer le nombre de calories auquel il avait droit était deux fois plus enclin à respecter le quota de calories.