Boardriders, propriétaire des marques Quiksilver, Billabong ou Roxy, veut implanter une piscine à vagues artificielles sur la commune de Saint-Jean-de-Luz, en Pyrénées-Atlantiques. Soutenu par la mairie, le surf park provoque de nombreuses contestations de la part de l’opposition, des associations et de la communauté du surf. Plusieurs arguments sont évoqués : sa proximité avec l’océan, placé à 1,5 km (soit 4 minutes) ; sa consommation en eau, estimée à 81 millions de litres (soit la consommation annuelle de 540 familles) ; son impact environnemental, qui engendrerait l’artificialisation des sols… Côté partisans, les arguments en faveur du développement de l’offre touristique et de la création d’emplois sont brandis.
Le surf park de la discorde
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