Selon une étude réalisée par l’Université du Nouveau-Mexique (États-Unis), une hormone diffusée dans le corps lors de la pratique d’une activité physique pourrait empêcher l’apparition de tumeurs cancéreuses du sein. Cette hormone, l’irisine, amplifierait également les effets des traitements par chimiothérapie. Cela permettrait aux équipes médicales de réduire les doses prescrites aux personnes souffrant de cancer du sein. Les études menées montrent que les personnes effectuant une activité physique régulière réduisent de 30 à 40 % leur risque de contracter un cancer du sein.