Le Centre de recherche du centre hospitalier de l’université de Montréal (Canada) a isolé une molécule, baptisée MCAM, qui a la capacité d’agir sur l’évolution de la sclérose en plaques, maladie neurodégénérative. Émise par le corps lors de la migration des lymphocytes nocifs qui détruisent les neurones vers le système nerveux central, elle pourrait être bloquée et cela conduirait à une diminution de la progression de la maladie et ainsi qu’à un recul du handicap. Un médicament pourrait ainsi être développé en s’appuyant sur cette découverte. Des tests in vivo sur la souris ont démontré une baisse de 50 % de la maladie.