Le Weizman Institute of Science, établi en Israël, a effectué des travaux de recherche, publiés dans la revue Nature Genetics, concernant les mélanomes et en particulier l’expression des gènes suppresseurs de cette tumeur. Les études ont isolé un gène émis dans des cas agressifs de mélanome, le RASA2, qui aurait, par sa simple expression causée par sa mutation, la capacité de mettre un terme à la croissance des cellules de la masse nocive et ainsi accroître les chances de guérison. La mutation doit cependant être contrôlée pour que les altérations génétiques produisent cet effet. Cette découverte conduit les chercheurs à envisager la création d’une thérapie ciblée sur l’exploitation de ce gène dans le cadre des traitements du mélanome.